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martin sève

  • Mélissa Zehner actualise la sirène d'Andersen

    tete brulée 1.jpgAu commencement était le conte, la petite sirène d'Andersen, lu par une jeune femme sensible aux symboles et à la modernité des rôles. Au final une réflexion sur l’idéal féminin qui s’émancipe de la fatalité avec zeste d'écologie.

    On assiste médusés à un foisonnement d’idées, de l’écriture à la mise en scène, alternant légèreté et profondeur, rythme et pauses, rires et larmes. Mélissa Zehner accorde également de l'importance à la sonorité des paroles, imagées ou crues.

    C'est le défaut de la jeunesse de vouloir souvent trop en dire et de passer à côté de la simplicité narrative, mais c'est aussi sa force de témoigner d'une complexité allant à l’encontre de schémas préétablis ou de dénoncer des forfaits impunis avec fougue et brio.

    Mélissa Zehner, ancienne élève de l'école de la Comédie de Saint-Etienne, avait déjà expérimenté le conte lors de sa formation. rencontre avec l'autrice :


    podcast

    Une tête brulée sous l'eau se joue jusqu'au 20 octobre à la Comédie de Saint-Etienne.