blogger hit counter

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Prose combattante

margot thery,le cabaret des indociles,théâtre des clochards célestes,maud gentien,mathilde saillant,marine simon,théâtre marguerite,benjamin lebreton,alex costentino,léo gully,manuella mangalo,1950,centre de rééducation,vocation féminine,véronique blanchard,vagabondes voleuses vicieuses,compagnie associée,festival azimuts,février 2023

Coup de "Chœur"

Il y a quelqu'une et quelque chose dans ce Cabaret des Indociles vu au Théâtre des Clochards Célestes, qui fait la part belle aux jeunes créateurs. Margot Thery, une plume, une vision, un message qui est devenu un combat actuel pour l'émancipation des femmes.
Saluons les prestations formidables, enjouées et parfois endiablées des trois jeunes comédiennes Maud Gentien, Mathilde Saillant et Marine Simon ; la scénographie efficace et sobre de Benjamin Lebreton ou encore les lumières de Manuella Mangalo. Tout s'aligne dans cette première création du Théâtre Marguerite pour rendre joyeux et percutant un sujet sensible et douloureux : la vie bridée de jeunes femmes dans un centre de rééducation des années 50.
Margot Thery a su insuffler dans la thèse historique de Véronique Blanchard (Vagabondes, voleuses, vicieuses aux éditions Les Péregrines - 2019) de la fantaisie à propos, doublée d'une mise en scène ludique et astucieuse. 
La pièce sonne juste et restitue l'énergie du désespoir, avec beaucoup d'espérance et de force communicative.
Petit entretien avec l'Autrice et metteuse en scène (9 minutes)


podcast
Image: Compagnie Le Théâtre Marguerite

Écrire un commentaire

Optionnel